1. Le "haut du panier" pour alléger son impôt
2. Les flops ou les dispositifs où nous avons le plus de doutes
3. Conclusion
1. Le "haut du panier" pour alléger son impôt
Le PER contre le reste du monde
L'application Klemo, qui fait les calculs après fiscalité et teste un tas d'actions d'amélioration de votre situation financière, ne s'y trompe pas : cette recommandation écrase tout, à tel point qu’on aurait pu nommer cet article « Le PER contre le reste du monde » tant il sort du lot. 
Le Plan Épargne Retraite vous permet de verser vos économies sur un produit spécialement prévu pour vos vieux jours. Vos fonds sont bloqués jusqu’à votre départ en retraite. Il est possible de déduire les versements volontaires sur son PER de son revenu imposable, ce qui fait mécaniquement baisser votre montant d’impôt dû, jusqu'à : 
- 10 % des revenus professionnels, avec un plafond annuel de 37 094 € pour les salariés (ce montant ne peut pas descendre sous 4 637 €).
- 10 % du bénéfice imposable plus 15 % de la part supérieure, jusqu’à un plafond de 87 135 € pour les travailleurs non-salariés (TNS).
Il est également possible de rattraper les plafonds de déduction non utilisés des trois années précédentes et de les cumuler pour augmenter le montant déductible en une seule année. Fusion ! 
Le PER est aussi flexible : l’épargnant peut sortir en capital ou en rente, transférer ses contrats, garder la possibilité de débloquer l’épargne pour l’achat d’une résidence principale ou dans quelques autres cas exceptionnels. La flexibilité se retrouve aussi dans les investissements qui peuvent être adaptés à votre profil de risque. Le PER Klemo Retraite s'inscrit dans cette optique. 
À la sortie, la fiscalité s’applique selon le choix de l’épargnant, mais la charge fiscale intervient plus tard, potentiellement à un moment où le taux d’imposition est plus faible (retraite). 
Les dons : réduire tout en s’engageant
Donner à une association ou à une œuvre d’intérêt général ouvre droit à des réductions d’impôt de 66 à 75 % des montants donnés, selon la cause soutenue. Solution simple et immédiate, le don permet d’agir concrètement tout en allégeant sa feuille d’impôt. De quoi allier philanthropie et défiscalisation (non, ce n’est pas si antinomique !). Seule vérification à faire, que l'association soit bien éligible. Vous trouverez les listes d’associations éligibles sur les sites gouvernementaux.
Le Groupement Forestier d'Investissement : une fiscalité douce comme la mousse des bois
Investir en groupements forestiers d'investissement (GFI) permet de bénéficier d’une réduction d’impôt sur le revenu à hauteur de 18 % du montant investi et offre aussi des abattements sur l’IFI et la transmission. C’est une voie originale, écologique, et parfois intéressante sur le long terme, mais il faut bien vérifier l’absence de frais élevé à la sortie.  
En pratique, un investissement forestier produit entre 2 % et 4 % de rendement par an, avantage fiscal inclus, avec un horizon de détention long (7 à 10 ans) et une liquidité limitée, mais avec une certaine régularité. Cela permet également une économie lors de la transmission de 75 %. Attention aux frais d'entrée qui peuvent ôter tout intérêt à cet investissement et au montant minimum d'investissement. On arrive à trouver des périodes avec des promotions ou certains GFI sans frais d'entrée. 
Si on parvient à éviter les droits d'entrée, c'est un placement intéressant, en particulier pour les personnes sensibles à la cause environnementale. 
N’oubliez pas vos charges déductibles
Un réflexe incontournable chaque année : passer en revue toutes les charges éligibles à la déduction. Elles s’additionnent et réduisent le revenu imposable sans risque. Nombreux sont les contribuables à ignorer que certaines de leurs dépenses ouvrent droit à un avantage fiscal ! Parmi les plus connues, on trouve notamment :
- Emploi à domicile (ménage, cours particuliers, jardinage, etc.) : 50 % des dépenses remboursées, plafond 12 000 €, majoration possible par enfant, maxi 18 000 € ou 20 000 € en cas d’invalidité.
- Garde d’enfants hors domicile : 50 % des frais, plafond 3 500 € par enfant (1 750 € en alterné).
- Dépendance : réduction d’impôt de 25 % sur les dépenses engagées.
- Borne de recharge d’un véhicule électrique : crédit d’impôt de 75 %, plafonné à 500 €.
- Scolarité : avantage fiscal fixe, par enfant : 61 €/collège, 153 €/lycée, 183 €/études supérieures.
Les revenus immobiliers issus de locations nues au régime réel sont imposés sur la base du revenu net, c’est-à-dire après déduction d’un ensemble de frais et charges effectivement supportés dans l’année. Donc n'oubliez pas ces charges : assurance propriétaire non occupant, assurance loyer impayé, gestion locative, taxe foncière., frais de procédure engagés pour récupérer des loyers impayés.
Le déficit foncier : l’arme des bailleurs
Un cran plus loin que les charges déductibles, c’est le déficit foncier, le mécanisme préféré des investisseurs locatifs en nue-propriété et au régime réel (cela ne marche pas pour la location meublée) : si les travaux, frais d’entretien ou charges dépassent les revenus locatifs, le propriétaire crée un déficit foncier. Ce déficit, hors intérêts d’emprunt, peut être déduit du revenu global dans la limite de 10 700 € par an, ce qui permet de diminuer l’impôt sur le revenu. Oui, un déficit, ça s'organise. 
L’excédent au-delà de 10 700 € ou la part des intérêts d’emprunt peut être reporté sur les revenus fonciers des dix années suivantes. Attention cependant, le bien concerné doit rester loué jusqu’au 31 décembre de la 3e année après l’imputation du déficit.  
En résumé, c'est un mécanisme parfait pour réduire son imposition en réhabilitant le parc locatif, avec des économies réelles et un effet de levier sur le long terme. 
Les investissements directs PME/JEI
Investir en direct dans une PME ou une jeune entreprise innovante ouvre droit à une réduction d’impôt jusqu’à 25% des sommes investies, et parfois à des exonérations sur les plus-values à la revente sous conditions (article 150-0 B Ter du CGI). Un engagement de long terme en soutien à l’économie réelle… qui peut aussi offrir de belles réussites.  
Il existe une variante pour les Jeunes Entreprises Innovantes (JEI) qui est un statut attribué aux PME françaises de moins de 8 ans qui engagent au moins 15 % de leurs charges en dépenses de recherche et développement (R&D), avec pour objectif principal de favoriser l’innovation, la création d’emplois qualifiés et la croissance économique. On vous passe la brouettée d'autres critères. On aime particulièrement ce dispositif car on peut sécuriser l'avantage fiscal en demandant avant investissement si tout est bien éligible à l'administration fiscale. Comme ça, pas de surprise. 
En résumé, si vous aimez l'économie réelle et l'entrepreneuriat, d'abord on vous salue et ensuite on vous invite à jeter un œil à ce dispositif, surtout si vous êtes acteur de la société en question. 
L’achat en nue-propriété
La propriété d’un logement peut se découper en usufruit et nue-propriété. Si vous n’avez pas l’âme d’un maraîcher, pas de panique, on parle toujours de défiscalisation ici. L’usufruit, c’est le droit d’utiliser le bien et d’en percevoir les revenus (par exemple les loyers), d'assumer l’entretien courant et les taxes. La nue-propriété, c’est le fait d’être propriétaire sans avoir la jouissance du bien, c’est-à-dire qu'on ne l'habite pas, mais qu’on garde le droit de le vendre. 
Pendant la durée du démembrement, le nu-propriétaire ne paie ni impôts sur les revenus fonciers (car il ne touche aucun loyer), ni IFI, ni taxe foncière. C'est là l'intérêt fiscal. L’imposition est supportée par l’usufruitier.  
À l’issue de la période d’usufruit (généralement à une date fixée ou au décès de l’usufruitier), la nue-propriété et l’usufruit se réunissent : le nu-propriétaire récupère la pleine propriété, avec toutes les libertés (occuper, louer ou vendre), sans fiscalité supplémentaire. Il est important de noter que l’usufruit ne se transmet pas et s’éteint à la date prévue, la nue-propriété retrouve donc tous ses droits automatiquement.  
Le marché de la nue-propriété reste restreint : la revente en cours de démembrement peut être difficile, ce qui fait de cette stratégie un outil patrimonial surtout réservé à l’investissement long terme et à l’organisation de la transmission. 
Sofica : le cinéma comme outil fiscal
Depuis 40 ans, les Sofica collectent des fonds privés destinés exclusivement au financement de productions cinématographiques et audiovisuelles en France : 2,5 milliards d’euros auprès de 400 sociétés agréées, finançant près de 3 500 films et œuvres audiovisuelles. 
Si vous êtes dingue de cinéma, et vous aurez remarqué que chez Klemo, on ne déteste pas y faire référence, la Sofica est faite pour vous. En tout cas il y a une partie de votre argent qui ne disparaît pas, celle des économies d'impôts en soutien au cinéma qui va jusqu'à 48 % (en général c'est le taux proposé). Pour le reste il ne faut pas être trop stressé par les pertes. Pour les personnes d'un naturel prudent, restez à l'écart. La rentabilité est en moyenne de 4 % à 5 % et repose largement sur la fiscalité, l'investissement hors fiscalité étant très souvent négatif à la liquidation. 
Donc en résumé, vous n'allez pas gagner grand-chose mais router vos impôts vers le cinéma.  
Les Sofica ont le bon goût de rentrer dans le plafond des niches fiscales supplémentaire c’est-à-dire les 8000 € supplémentaires envisageables une fois saturé les 10 000 € de plafond des niches fiscales classiques. 
Le PEA ou l'assurance vie : l’atout différé pour la plus-value
Le Plan Épargne en Actions n’offre pas d’avantage fiscal immédiat, mais les plus-values et dividendes générés par les titres détenus sont exonérés d’impôt sur le revenu après 5 ans de détention, quelle que soit la date du retrait. En revanche les prélèvements sociaux (17,2 %) restent dus, lors des retraits. 
Il n’y a pas de plafond d’exonération pour les plus-values réalisées sur le PEA tant que le plan est ouvert et respecte les conditions légales.  
Les retraits sont possibles après 5 ans sans entraîner la clôture du plan, ce qui permet de continuer à investir, à condition de respecter les règles du dispositif.  
C’est l’outil à ne pas négliger pour les investisseurs long terme, surtout lorsque le patrimoine financier commence à grossir ou si vous avez un tempérament d'investisseur conquérant, à l'aise pour investir en actions ou ETFs. 
Dans le même ordre d’idée, l'assurance vie est fiscalement intéressante à plusieurs niveaux. 
Tout d'abord, la taxation des plus-values est différée jusqu'au retrait partiel ou total. 
Ensuite, après 8 ans de détention du contrat, chaque titulaire bénéficie d’un abattement annuel de 4 600 € (ou 9 200 € pour un couple marié ou pacsé) sur la part des gains retirés, exonérée d’impôt sur le revenu.  
Les prélèvements sociaux restent applicables, tout comme avec le PEA, même en cas d’abattement fiscal.  
Enfin, en matière de transmission, si les versements ont eu lieu avant 70 ans, chaque bénéficiaire peut recevoir jusqu’à 152 500 € en exonération de droits de succession.  
Au-delà de cette limite, les capitaux transmis sont taxés à 20 % jusqu’à 700 000 €, puis 31,25 % au-delà, et pour les versements effectués après 70 ans, l’abattement global descend à 30 500 € pour l’ensemble des bénéficiaires. 
Donations : préparer l’avenir (et faire plaisir !)
Donner à ses enfants, c’est leur offrir une longueur d’avance dans la vie, et ça peut aussi alléger vos impôts. En France, chaque parent peut transmettre 100 000 € à chaque enfant (donc 200 000 € à deux), tous les 15 ans, sans payer de droits, idéal pour organiser une succession en douceur ou atténuer d'autres impôts comme l'IFI. Les grands-parents peuvent aussi donner : 31 865 € par petit-enfant tous les 15 ans. Mamie, tu sais ce qui te reste à faire ! 
Pour 2025, une mesure temporaire (jusqu'au 31/12/26) permet aussi de donner jusqu’à 100 000 € à ses descendants (enfant, petit-enfant…) sans droits de donation, si les sommes sont utilisées dans les 6 mois pour l’achat, la construction ou la rénovation énergétique d’une résidence principale, avec engagement de conservation du bien pendant 5 ans. Ça fait pas mal de condition mais c'est quand même très intéressant si cela correspond par hasard avec votre agenda familial. Daddy I want a pony … or a house. 
Offrir aujourd’hui, c’est penser à demain tout en faisant plaisir à ceux qui comptent vraiment.
2. Les flops ou les dispositifs où nous avons le plus de doutes 
FIP et FCPI : une performance trop faible au regard de l'avantage fiscal
L'AMF a publié une étude instructive en janvier 2025 qui montre que la performance médiane annuelle sur la décennie passée s'établit respectivement -2,4 % pour les Fonds d'Investissement de Proximité (FIP) et -1,1 % pour les Fonds Communs de Placement dans l’Innovation (FCPI).  
Le comparatif avec les Fonds Communs de Placements à Risque (FCPR) ou équivalent sans droit d'entrée est édifiant et plaide pour une approche hors défiscalisation. En résumé, trop de frais (médiane à 3,5 % pour les FIP et 3,2 % pour les FCPI) et pas assez de performance pour être intéressant. Carton rouge. 
Le Girardin : attractif mais trop de risque
Le dispositif Girardin (notamment industriel) promet une réduction d'impôt supérieure à la mise initiale, en finançant des projets dans les Outre-mer. Malgré l’attrait fiscal massif, il existe un risque réel de reprise de l'avantage par l'administration si les nombreuses conditions ne sont pas remplies, parfois indépendamment de l'investisseur. Les contentieux restent fréquents et la réglementation est complexe, rendant la réussite de l’opération très incertaine même pour les profils avertis.
Denormandie : incitations sur l’ancien mais rentabilité discutable
Le Denormandie, c'est le Pinel de l'ancien. Le dispositif accorde une réduction d’impôt à l’achat sous condition de rénovation de logements anciens situés dans certaines zones tendues. L’avantage fiscal peut atteindre 21% du montant investi, mais la rentabilité dépend beaucoup du contexte personnel et du marché local. 
Si vous avez un problème avec la phrase suivante, passez à la suite et vous avez la réponse. C'est non : pour bénéficier de la réduction d’impôt, le formulaire d’engagement de location (2044-EB) doit être rempli et les termes (investissements puis déduction) doivent apparaitre dans la déclaration 2042-RICI, les loyers étant déclarés en revenus fonciers. 
L’incertitude fiscale est forte pour les mêmes raisons que le Pinel avec en plus des conditions d'éligibilité pour les travaux qui visent l'efficacité énergétique. Car c'est le point important, il faut réaliser des travaux qui représentent au moins 25 % du coût de l'opération. Qui dit travaux dit gros aléa sur leur coût et donc gros aléa sur la rentabilité. Moins vous êtes présent et plus le dérapage est important. 
Loc Avantage : défiscalisation contre loyers plafonnés
Ce dispositif permet une réduction d’impôt proportionnelle au montant des loyers, à condition de respecter des plafonds de loyers et de ressources du locataire. Elle peut aller jusqu'à 65 % sur le montant des loyers perçus, mais implique une baisse de rentabilité locative brute, car les loyers sont systématiquement en dessous du marché. L'équilibre entre effort social et avantages fiscaux reste fragile. Le vrai problème est la rentabilité brute qui est trop basse, surtout si un emprunt finance l'achat du bien.
SCPI fiscale : intérêt limité versus incertitude et faible rendement
Les SCPI fiscales (Sociétés Civiles de Placement Immobilier) permettent de collecter un avantage fiscal à travers l’acquisition de parts d’immobilier. Le terrain de jeu des SCPI de défiscalisation s'est atrophié avec la disparition des avantages fiscaux dans l'immobilier neuf. Il reste surtout les dispositifs Denormandie et Malraux. Pourtant, le rendement moyen hors avantage fiscal dépasse rarement 2 % à 3 % et la liquidité des parts est réduite. L’investisseur est exposé à un risque de dévalorisation à la sortie du dispositif ou en cas de vente anticipée, le tout avec des frais d'entrée qui peuvent parfois être confiscatoires et des frais de gestion jusqu'à 20 % des loyers. 
Les SCPI de défiscalisation investissent surtout dans l'immobilier résidentiel dont la correction des prix n'a été que légère. Dans le même temps, l’immobilier commercial a fortement décoté avec des baisses de 20 %, ce qui permet de trouver des SCPI de nouvelles générations avec des rendements attractifs, mais sans défiscalisation. Désolé pour l'allergie fiscale, mais il y a mieux à faire ailleurs. 
Immobilier, pourquoi attendre ?
L’accumulation d’incertitudes fiscales, le risque contentieux, la faiblesse des « primes de risque » sur l’immobilier résidentiel et la faible fluidité du marché incitent à la patience. Sauf besoin fiscal pressant, mieux vaut différer l’investissement et cibler le prochain dispositif, tout en restant à l’affût des innovations fiscales et en se concentrant, via des SCPI, sur l’immobilier commercial (voir plus haut). C'est bien dommage car l'investissement locatif défiscalisant avait une utilité sociale : en contrepartie d'un avantage fiscal, l'investissement est fait par le particulier (et non par l'État pour une fois) qui accepte une moindre rentabilité locative et de moindre revenu pour le locataire sélectionné. On voit bien que depuis l'arrêt de ces dispositifs, c'est le marasme sur le locatif et l'accès au logement est plus compliqué.
3. Conclusion  
Derrière chaque dispositif, se cachent des horizons, des contraintes, des frais et des logiques différentes. Le bon choix n’est pas celui qui promet le plus d’économie immédiate, mais celui qui s’insère harmonieusement dans votre situation globale, vos objectifs et votre appétit pour le risque. 
Chez Klemo, nous considérons la défiscalisation comme un levier au service d’une stratégie, pas comme une fin en soi : comprendre avant d’agir, arbitrer avant de signer. C’est cette approche qui transforme une économie d’impôt en véritable création de valeur. 
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Information importante
Les informations présentées dans cet article sont fournies à titre informatif et général. Elles ne constituent en aucun cas un conseil personnalisé, financier, juridique ou fiscal.
Elles ne tiennent pas compte de la situation particulière, des objectifs ou des besoins spécifiques de chaque lecteur. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures, et tout investissement comporte des risques, y compris un risque de perte en capital.
Pour un accompagnement adapté à vos besoins personnels, nous vous invitons à télécharger l’application KLEMO pour un conseil personnalisé.
 
                 
                
             
                    